Monday, April 03, 2006

Ma crainte des hommes



J'avais treize ans , je découvrais les garçons, j'en aimais un. A treize ans, on donne sa confiance à n'importe qui, on a tendance à jouer aux allumeuses. C'est sans doute une grâve erreur que j'ai pu commettre. Treize ans et le béguin pour un ami de longue date qui lui en avait 29. Je le trouvais beau comme un dieu, gentille avec moi , parfois taquin, tantôt sévère, tantôt joueur. Bref de quoi éveiller des sentiments... Je n'avais pas préssenti ce qui allait se passer, aucun soupçon. Des fois je me blottissais contre lui, parce que j'avais besoin de me sentir dans ces bras, juste une présence masculine.
Et un jour, j'étais seule avec lui dans sa chambre , il jouait sur son ordinateur, j'avais mes mains autour de son coup , le pouce qui carressait son bouton de col de chemise.Sa main attrapant la mienne qui commenec à me caresser mes doigts. A la fin il se retourna mes saisissant les deux poignées m'attirant vers lui: mon coeur battait de plus en plus vite, je pense que c'était de l'anxiété. Il me regardait différement qu'une gamine de 13 ans, j'en était certaine. A plusieurs reprises je tente de me desserrer de son étraintes, mais il me contenait en douceur. Pour finir il me laissa me redresser. Au bout d'un moment, je voulais lui dire au revoir mais il me saisissa le visage entre ces deux mains, faisant mine de vouloir em faire la bise, il rapproche mon visage du sien. Au début je parvins à tourner ma tête. Il recommença une deuxieme fois, ma visage se crispa encore plus entre ces grandes mains, je n'arrivais pas à m'en défaire. Un baiser: on a l'impression que ça dure une éternité dans ces moments-là, l'esprit s'évade parce que c'est agréable, et puis cette force masculine se traduit par de la douceur sur ses lèvres. 3 secondes où j'étais déconnectée de la réalité. Pour finir je le repoussait. Ces mains étaient toujours autour des mes joues, alors il recommença une seconde fois: mon sang se mit à bouillir. Je le repoussais assez loin de moi, enfin libre. Je me faufillais dans une autre pièce: il vint s'excuser de son geste. Tout ce que j'ai su dire c'était "ce n'est pas grâve". J'aurais du remarquer que 3 mois avant, il m'avait serrer différement dans ses bras, comme pour sentir ma poitrine contre la sienne.
Sans doute qu'en lisant ceci vous vous direz que je l'ai bien cherché mais je ne voulais pas que tout ceci ne se passe; vous trouverez que j'ai aimé oui j'ai apprécié même uen gamine de 13 ans ne sais jamais ce qu'elle doit faire en présence de quelqu'un qu'elle admire.
Je crois que si un jour j'ai des filles , je leur expliquerai qu'il faut parfois se méfier des hommes même si des fois ils sont plein de bonnes intentions , il ne faut pas jouer avec le feu, je en voudrait pas qu'elle vive cela et qu'elles soient incapable d'en parler à qui que ce soit parce qu'elle n'auront plus confiancepas même en leurs petits amis.
A l'époque ou j'en ai parler avec mon copain en date, il disait que ej m'étais laisser faire, alors que lui je ne l'embrassais jamais, et dès ce moment là j'en devanis incapable par peur d'y repenser. Il m'a fallu 3ans pour être prête à sortir avec des garçons en me retirant cette idée de ma tête.

Etais-ce normale qu'un adulte soit attirée par une fille?

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